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Most recents (3)
1/ça y est mes élèves sont inscrits sur #Parcoursup2021 . L'occasion de les accompagner sur leur premier voeu. Et on a beau accumuler de l'expérience et avoir une prévention naturelle envers le dispositif, les surprises annuelles ne manquent pas.
2/ et cette année c'est le passage du #DUT au #BUT qui me pose problème.
D, c'était diplôme. B, c'est Bachelor. Au delà du passage de 2 à 3 ans et de ses conséquences, qu'a bien décomposé @juliengossa, c'est le mot qui est un piège
D, c'était diplôme. B, c'est Bachelor. Au delà du passage de 2 à 3 ans et de ses conséquences, qu'a bien décomposé @juliengossa, c'est le mot qui est un piège
3/ Bachelor, c'est aussi le mot magique des multiples écoles privées présentes sur la plateforme. Et quand elles et ils cherchent des formations -l'expérience du jour me le montre- les élèves n'y voient que du feu.
#EndOfDUT Documentation de l'extrême onction du #DUT.
Compte rendu informel de l'assemblée générale des personnels de mon IUT en présence de l'ADIUT, avec pour ordre du jour :
- information sur le BUT
- galette des rois
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Compte rendu informel de l'assemblée générale des personnels de mon IUT en présence de l'ADIUT, avec pour ordre du jour :
- information sur le BUT
- galette des rois
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L'ADIUT procède à une présentation équilibrée est sincère de la réforme : il y a beaucoup plus de "points de vigilance" (i.e. choses qui peuvent nous péter à la gueule") que d'opportunités.
Il reste beaucoup de flou.
Le calendrier est serré pour une rentrée en 2021.
Il reste beaucoup de flou.
Le calendrier est serré pour une rentrée en 2021.
Question : Quid de l'accueil des bacs techno : est-ce qu'on aura les moyens nécessaires pour les faire réussir ? Est-ce que les quotas peuvent changer ?
ADIUT : Il n'y aura pas de moyens et le ministère est resté inflexible sur le quota de 50% et il pourra évoluer.
ADIUT : Il n'y aura pas de moyens et le ministère est resté inflexible sur le quota de 50% et il pourra évoluer.
Provokante Frage zum Einstieg in die #SoKo18:
Niemand geht freiwillig zu einem Steuerberater, der Steuerrecht für eine tolle Sache hält und seinen Klienten empfiehlt, viel Steuern zu zahlen.
Wieso gibt es so viele Datenschutzberater, die das in ihrem Bereich anders sehen?
Niemand geht freiwillig zu einem Steuerberater, der Steuerrecht für eine tolle Sache hält und seinen Klienten empfiehlt, viel Steuern zu zahlen.
Wieso gibt es so viele Datenschutzberater, die das in ihrem Bereich anders sehen?
Die Frage ist provokant gestellt, hat aber einen ernst gemeinten Hintergrund. Wie sollte digitales (Datenschutz-) Recht aussehen, das auch wirklich „funktioniert“?
Die #DSGVO zwingt Verantwortliche und deren Berater fast unvermeidbar in Vermeidungsstrategien. Grund: Es gibt kaum positive Anreize zum Datenschutz. Wer den Anreizen der #DSGVO folgt, zielt vor allem darauf eine gute #Papierlage herzustellen, um Haftungsriken zu vermeiden.
